– Risque sanitaire
Le pollen d’ambroisie à feuilles d’armoise, émis de fin juillet à début octobre selon les conditions météorologiques, est à l’origine de nombreuses réactions allergiques (rhinite, conjonctivite, trachéite, et urticaire) . Il est également responsable de l’apparition ou de l’aggravation de l’asthme.
En Auvergne Rhône Alpes, région française la plus envahie par l’Ambroisie à feuilles d’armoise, il a été estimé que les allergies à l’ambroisie ont concerné, en 2017, plus de 660 000 personnes (soit environ 10% de la population régionale) et entraîné des coûts de santé (consultations, traitements, arrêté maladie, etc.) de l’ordre de 40,6 millions d’euros (Source : Analyse des données médico-économiques 2017 réalisée par l’ORS Auvergne-Rhône-Alpes, à la demande et avec le financement de l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes).
– Risque écologique
L’association Stop Ambroisie a officiellement attiré l’attention de l’Etat en aout 2020 sur le « fléau que représente l’ambroisie pour l’environnement en provoquant une perte de biodiversité. »
L’ambroisie colonise en effet les champs de tournesols.
Or plus précoce que ces derniers, elle se développe à leur désavantage, allant jusqu’à prendre le dessus sur les plans envahis
Conséquence ?
– Une perte claire de rendement pour les agriculteurs
– Une nouvelle raison d’inquiétude pour les apiculteurs, dont les abeilles ont besoin de nectar et pollen de tournesol.
Il existe 4 espèces d’ambroisie en France, dont trois sont nuisibles à la santé.
Notre région est plus particulièrement concernée par l’ambroisie à feuille d’armoise, soit Ambrosia artemisiifolia.
Signes caractéristiques :
– Feuilles minces et découpées d’un vert clair uniforme sur les deux faces
– Tige velue couverte de poils blancs, vert vif dans un premier temps puis rougeâtre à maturité
– Fleurs vert pâle à jaune, dressées en épi
Ne pas confondre Armoise et ambroisie
Le savez-vous ?
En moyenne une plante donne 3 000 graines, qui peuvent se conserver des dizaines d’années dans le sol
On comprend mieux le risque d’envahissement que représente cette plante.
Que faire ?
La lutte contre l’ambroisie ? Une obligation légale
Art 3
Afin de prévenir l’apparition ou de lutter contre la prolifération des ambroisies et de réduire l’exposition de la population à leurs pollens, les propriétaires, locataires, exploitants, gestionnaires de terrains bâtis et non bâtis, ayants-droit ou occupants à quelque titre que ce soit, sont tenus, sur l’ensemble du territoire, dans les conditions définies par le présent arrêté :
– D’être en mesure d’identifier les ambroisies présentes sur le territoire concerné
– De signaler la présence des ambroisies, directement à la mairie concernée ou via la plateforme de signalement http://www.signalement-ambroisie.fr laquelle permet d’informer la mairie. Ces signalements permettent d’améliorer la connaissance de la localisation des ambroisies et le suivi de la mise en œuvre des mesures de lutte,
– De mettre en place toute action de prévention, dans le but d’éviter leur apparition,
– De détruire les plants déjà développés et de mener toute autre action de lutte pour prévenir leur reproduction et leur implantation,
– D’éviter toute dispersion de graines d’ambroisies par transport, engins, lots de graines, compost, etc. afin d’éviter de coloniser de nouvelles zones.
Chacun doit prendre sa part
Repérer : chaque propriétaire doit prendre conscience de la nécessité de vérifier l’éventuelle présence de plants d’ambroisie sur sa parcelle
Arracher/Faucher : avant floraison et grenaison (de préférence) avec port de gant – Un masque est recommandé après floraison . Opérations déconseillées aux personnes allergiques même avec précaution.
Asphyxier : empêcher son installation ou sa repousse par la technique de végétalisation
N’hésitez pas à signaler des plants détectés hors de chez-vous en indiquant très précisément leur implantation
Que fait la mairie ?
Arrachage manuel régulier dès détection sur le domaine public
– Risque sanitaire
Le pollen d’ambroisie à feuilles d’armoise, émis de fin juillet à début octobre selon les conditions météorologiques, est à l’origine de nombreuses réactions allergiques (rhinite, conjonctivite, trachéite, et urticaire) . Il est également responsable de l’apparition ou de l’aggravation de l’asthme.
En Auvergne Rhône Alpes, région française la plus envahie par l’Ambroisie à feuilles d’armoise, il a été estimé que les allergies à l’ambroisie ont concerné, en 2017, plus de 660 000 personnes (soit environ 10% de la population régionale) et entraîné des coûts de santé (consultations, traitements, arrêté maladie, etc.) de l’ordre de 40,6 millions d’euros (Source : Analyse des données médico-économiques 2017 réalisée par l’ORS Auvergne-Rhône-Alpes, à la demande et avec le financement de l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes).
– Risque écologique
L’association Stop Ambroisie a officiellement attiré l’attention de l’Etat en aout 2020 sur le « fléau que représente l’ambroisie pour l’environnement en provoquant une perte de biodiversité. »
L’ambroisie colonise en effet les champs de tournesols.
Or plus précoce que ces derniers, elle se développe à leur désavantage, allant jusqu’à prendre le dessus sur les plans envahis
Conséquence ?
– Une perte claire de rendement pour les agriculteurs
– Une nouvelle raison d’inquiétude pour les apiculteurs, dont les abeilles ont besoin de nectar et pollen de tournesol.
Il existe 4 espèces d’ambroisie en France, dont trois sont nuisibles à la santé.
Notre région est plus particulièrement concernée par l’ambroisie à feuille d’armoise, soit Ambrosia artemisiifolia.
Signes caractéristiques :
– Feuilles minces et découpées d’un vert clair uniforme sur les deux faces
– Tige velue couverte de poils blancs, vert vif dans un premier temps puis rougeâtre à maturité
– Fleurs vert pâle à jaune, dressées en épi
Ne pas confondre Armoise et ambroisie
Le savez-vous ?
En moyenne une plante donne 3 000 graines, qui peuvent se conserver des dizaines d’années dans le sol
On comprend mieux le risque d’envahissement que représente cette plante.
Que faire ?
La lutte contre l’ambroisie ? Une obligation légale
Art 3
Afin de prévenir l’apparition ou de lutter contre la prolifération des ambroisies et de réduire l’exposition de la population à leurs pollens, les propriétaires, locataires, exploitants, gestionnaires de terrains bâtis et non bâtis, ayants-droit ou occupants à quelque titre que ce soit, sont tenus, sur l’ensemble du territoire, dans les conditions définies par le présent arrêté :
– D’être en mesure d’identifier les ambroisies présentes sur le territoire concerné
– De signaler la présence des ambroisies, directement à la mairie concernée ou via la plateforme de signalement http://www.signalement-ambroisie.fr laquelle permet d’informer la mairie. Ces signalements permettent d’améliorer la connaissance de la localisation des ambroisies et le suivi de la mise en œuvre des mesures de lutte,
– De mettre en place toute action de prévention, dans le but d’éviter leur apparition,
– De détruire les plants déjà développés et de mener toute autre action de lutte pour prévenir leur reproduction et leur implantation,
– D’éviter toute dispersion de graines d’ambroisies par transport, engins, lots de graines, compost, etc. afin d’éviter de coloniser de nouvelles zones.
Chacun doit prendre sa part
Repérer : chaque propriétaire doit prendre conscience de la nécessité de vérifier l’éventuelle présence de plants d’ambroisie sur sa parcelle
Arracher/Faucher : avant floraison et grenaison (de préférence) avec port de gant – Un masque est recommandé après floraison . Opérations déconseillées aux personnes allergiques même avec précaution.
Asphyxier : empêcher son installation ou sa repousse par la technique de végétalisation
N’hésitez pas à signaler des plants détectés hors de chez-vous en indiquant très précisément leur implantation
Que fait la mairie ?
Arrachage manuel régulier dès détection sur le domaine public
Une invasive hautement allergène et menaçante pour la biodiversité
Jolie mais nuisible
Stopper sa progression est l’affaire de tous et la responsabilité de chacun
Que faire ?
Un ravageur urticant
Nuisible
Stopper sa progression est l’affaire de tous et la responsabilité de chacun
Eviter tout contact non seulement avec les chenilles mais également avec leur nid, même vide
Ne pas les écraser – Ne pas se frotter les yeux en cas d’exposition – Consulter en cas de symptômes – Prenez conseil au moindre doute
Nuisible pour la flore….
Parasite pour les pins et les chênes dont elle s’est fait l’hôte indésirable, la chenille processionnaire se développe au détriment des arbres qui les accueillent.
Les chenilles se nourrissent des aiguilles ou feuilles , participant ainsi à la défoliation des arbres colonisés, qui voit diminuer leur pouvoir de photosynthèse, causant des retards de croissance.
Ces attaques rendent par ailleurs les arbres concernés plus fragiles aux autres parasites, menaçant à terme leur survie même.
…Et dangereux pour l’homme et les animaux domestiques
La chenille processionnaire est un vrai enjeu de santé publique en raison de ses poils urticants qu’elle libère, notamment, lorsqu’elle se sent en danger, et qui sont aisément transportés par le vent.
Ils peuvent être responsables de sévères démangeaisons, de conjonctivites, d’irritation des voies respiratoires, inflammation des muqueuses de la bouche et des intestins, et aussi parfois des réactions allergiques (urticaire, asthme,…), qui deviendront de plus en plus sévères si les contacts avec l’allergène se répètent.
Le savez-vous ?
Les poils des chenilles restent urticants durant plusieurs mois : ne laissez pas les enfants jouer sous un arbre ayant été infesté depuis moins d’un an, empêcher également les animaux d’accéder à la zone.
Que faire ?
Quelle que soit la méthode envisagée, ne prenez pas de risque et documentez-vous avant d’agir.
Installer des prédateurs : – Nichoir à mésange ou à chauvesouris, qui vont se nourrir des chenilles
Piégeage des chenilles : installer des pièges sur les troncs d’arbres pour capturer les chenilles -poser des pièges à phéromones pour capturer les papillons mâles, limitant ainsi le nombre de fécondation, et donc de future chenilles
Lutte biologique : traitement naturel en jardinerie
Destruction des nids : Procédure qui requiert de se renseigner au préalable sur la méthodologie adéquate afin d’ éviter tout risque. A minima utiliser un échenilloir, se protéger corps, visage et mains. Ne pas hésiter à prendre conseil ou à avoir recours à des professionnels.
Que fait la mairie ?
Interventions annuelles
– courant mai contre la processionnaire du chêne
– et à l’automne contre celle du pin
Un ravageur urticant
Nuisible
Stopper sa progression est l’affaire de tous et la responsabilité de chacun
Eviter tout contact non seulement avec les chenilles mais également avec leur nid, même vide
Ne pas les écraser – Ne pas se frotter les yeux en cas d’exposition – Consulter en cas de symptômes – Prenez conseil au moindre doute
Nuisible pour la flore….
Parasite pour les pins et les chênes dont elle s’est fait l’hôte indésirable, la chenille processionnaire se développe au détriment des arbres qui les accueillent.
Les chenilles se nourrissent des aiguilles ou feuilles , participant ainsi à la défoliation des arbres colonisés, qui voit diminuer leur pouvoir de photosynthèse, causant des retards de croissance.
Ces attaques rendent par ailleurs les arbres concernés plus fragiles aux autres parasites, menaçant à terme leur survie même.
…Et dangereux pour l’homme et les animaux domestiques
La chenille processionnaire est un vrai enjeu de santé publique en raison de ses poils urticants qu’elle libère, notamment, lorsqu’elle se sent en danger, et qui sont aisément transportés par le vent.
Ils peuvent être responsables de sévères démangeaisons, de conjonctivites, d’irritation des voies respiratoires, inflammation des muqueuses de la bouche et des intestins, et aussi parfois des réactions allergiques (urticaire, asthme,…), qui deviendront de plus en plus sévères si les contacts avec l’allergène se répètent.
Le savez-vous ?
Les poils des chenilles restent urticants durant plusieurs mois : ne laissez pas les enfants jouer sous un arbre ayant été infesté depuis moins d’un an, empêcher également les animaux d’accéder à la zone.
Que faire ?
Quelle que soit la méthode envisagée, ne prenez pas de risque et documentez-vous avant d’agir.
Installer des prédateurs : – Nichoir à mésange ou à chauvesouris, qui vont se nourrir des chenilles
Piégeage des chenilles : installer des pièges sur les troncs d’arbres pour capturer les chenilles -poser des pièges à phéromones pour capturer les papillons mâles, limitant ainsi le nombre de fécondation, et donc de future chenilles
Lutte biologique : traitement naturel en jardinerie
Destruction des nids : Procédure qui requiert de se renseigner au préalable sur la méthodologie adéquate afin d’ éviter tout risque. A minima utiliser un échenilloir, se protéger corps, visage et mains. Ne pas hésiter à prendre conseil ou à avoir recours à des professionnels.
Que fait la mairie ?
Interventions annuelles
– courant mai contre la processionnaire du chêne
– et à l’automne contre celle du pin
Un ravageur urticant
Nuisible pour la flore
Dangereux pour l’homme et les animaux
Eviter tout contact non seulement avec les chenilles mais également avec leur nid, même vide – Ne pas les écraser – Ne pas se frotter les yeux en cas d’exposition – Consulter en cas de symptômes – Prenez conseil au moindre doute
Au-delà de la nuisance provoquée par la cohabitation avec cet insecte, ce dernier représente un risque sanitaire dès lors qu’il peut véhiculer des virus comme ceux du chikungunya, de la dengue, du virus Zika ou de la fièvre jaune.
Taille : Quoique qualifié de « tigre », le moustique en question est petit ( il tient sur une pièce d’un centime d’euro !)
Vol : Moins véloce que le moustique commun, il est cependant plus discret puisque son vol est silencieux.
Physionomie : Il doit son nom à la présence de rayures noires et blanches qui strient son abdomen de manière très contrastée, ainsi que ses pattes . Il présente également une ligne blanche sur la partie haute du thorax.
Activité : Là aussi il se distingue du moustique commun ; car le tigre est diurne, et non nocturne. Son pic d’activité s’effectue au lever et à la tombée du jour.
Piqûre : plus douloureuse que celle du moustique commun, elle peut provoquer des cloques.
Le savez-vous ?
Le moustique tigre est casanier, il n’aime pas voyager.
Celui qui vous pique est donc probablement né chez vous ou tout à côté.
Que faire ?
Chacun est responsable en raison du constat que ce moustique vit dans un rayon de 150 mètres environ.
Il faut donc limiter sa prolifération en
– s’attaquant aux lieux de ponte, qui sont toutes surfaces où l’eau peut stagner (coupelles de pots de fleurs, récipients divers, pieds de parasols, pneus …) en les vidant régulièrement
– mettant du sable dans les soucoupes, qui conservera le surplus d’eau pour la plante sans donner aux moustiques la possibilité de pondre
– introduisant des poissons dans les bassins d’agrément : ils mangeront les larves de moustiques.
– vérifiant le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières, rigoles…)
– couvrant les réservoir d’eau (bidon, citernes…. ) avec un voile
– entretenant son jardin (élaguer, débroussailler, ramasser les fruits tombés et les déchets végétaux…) pour détruire les lieux de repos du moustique qui se plait dans un environnement
– installant des pièges à larves
Il est par ailleurs recommandé de se protéger en
– portant des vêtements couvrants vêtements longs, amples et clairs (le moustique privilégie les couleurs sombres), si besoin imprégnés de produits « spécial vêtement »
– utilisant des répulsifs
– installant des plantes répulsives autour de la maison (Melisse, verveine citronnelle, soucis, lavande, menthe, basilic citron, romarin, pelargonium, nepeté, eucalyptus….)
– installant des moustiquaires
Au-delà de la nuisance provoquée par la cohabitation avec cet insecte, ce dernier représente un risque sanitaire dès lors qu’il peut véhiculer des virus comme ceux du chikungunya, de la dengue, du virus Zika ou de la fièvre jaune.
Taille : Quoique qualifié de « tigre », le moustique en question est petit ( il tient sur une pièce d’un centime d’euro !)
Vol : Moins véloce que le moustique commun, il est cependant plus discret puisque son vol est silencieux.
Physionomie : Il doit son nom à la présence de rayures noires et blanches qui strient son abdomen de manière très contrastée, ainsi que ses pattes . Il présente également une ligne blanche sur la partie haute du thorax.
Activité : Là aussi il se distingue du moustique commun ; car le tigre est diurne, et non nocturne. Son pic d’activité s’effectue au lever et à la tombée du jour.
Piqûre : plus douloureuse que celle du moustique commun, elle peut provoquer des cloques.
Le savez-vous ?
Le moustique tigre est casanier, il n’aime pas voyager.
Celui qui vous pique est donc probablement né chez vous ou tout à côté.
Que faire ?
Chacun est responsable en raison du constat que ce moustique vit dans un rayon de 150 mètres environ.
Il faut donc limiter sa prolifération en
– s’attaquant aux lieux de ponte, qui sont toutes surfaces où l’eau peut stagner (coupelles de pots de fleurs, récipients divers, pieds de parasols, pneus …) en les vidant régulièrement
– mettant du sable dans les soucoupes, qui conservera le surplus d’eau pour la plante sans donner aux moustiques la possibilité de pondre
– introduisant des poissons dans les bassins d’agrément : ils mangeront les larves de moustiques.
– vérifiant le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières, rigoles…)
– couvrant les réservoir d’eau (bidon, citernes…. ) avec un voile
– entretenant son jardin (élaguer, débroussailler, ramasser les fruits tombés et les déchets végétaux…) pour détruire les lieux de repos du moustique qui se plait dans un environnement
– installant des pièges à larves
Il est par ailleurs recommandé de se protéger en
– portant des vêtements couvrants vêtements longs, amples et clairs (le moustique privilégie les couleurs sombres), si besoin imprégnés de produits « spécial vêtement »
– utilisant des répulsifs
– installant des plantes répulsives autour de la maison (Melisse, verveine citronnelle, soucis, lavande, menthe, basilic citron, romarin, pelargonium, nepeté, eucalyptus….)
– installant des moustiquaires
Nuisance et vecteur potentiel de maladies
Le moustique tigre est casanier, il n’aime pas voyager.
Celui qui vous pique est donc probablement né chez vous ou tout à côté (Le moustique vit dans un rayon de 150 mètres environ).
Nous avons donc tous le pouvoir de limiter sa prolifération
Nuisance et vecteur potentiel de maladies
Vigilance & prudence
Vespa velutina, est un frelon invasif d’origine asiatique dont la présence en France a été signalée à partir de 2004. L’Ain est impacté depuis 2015.
Si piqûre dans la bouche, la gorge, piqûres multiples ou si les symptômes locaux s’aggravent, consulter d’urgence un médecin ou appeler les pompiers (18), le Samu (15) ou urgences médicales (112).
Risque écologique
Le frelon asiatique est un destructeur des abeilles et autres pollinisateurs.
Presque sans prédateur lui-même, il fait des ravages dans les ruches. Il s’attaque aussi aux guêpes, mouches, papillons et araignées, constituant de fait, une menace pour l’équilibre de la biodiversité
Conséquence ?
Le déclin des pollinisateurs est un danger pour l’agriculture et donc potentiellement pour notre sécurité alimentaire
Risque sanitaire
La piqûre des frelons est douloureuse mais dans la majorité des cas non dangereuse.
Cependant en fonction de la nature du sujet (tempérament allergique, enfant…) ou en cas de piqûres multiples, on peut constater un choc anaphylactique dont les symptômes peuvent être divers comme des nausées, un gonflement du visage, des vertiges pouvant aller jusqu’à la perte de connaissance. Il est alors impératif de consulter immédiatement.
Le savez-vous ?
Le frelon asiatique peut tuer jusqu’à 70 abeilles par jour !
De plus celles qu’il ne tuent pas sont tellement stressées par les attaques que la récolte de nectar et de pollen en pâtit, rendant la ruche dysfonctionnelle.
Que faire ?
Face à un nid
Deux types de nids peuvent être observés :
– Les nids primaires : visibles dès les premiers beaux jours, au printemps,
– Les nids secondaires :
visibles dès le début de l’été, correspondant à une délocalisation de la colonie qui abandonne le nid primaire, trop petit.
Ne tentez pas de déloger un nid vous-mêmes.
Toute personne constatant l’existence d’un nid ou suspectant la présence d’un frelon asiatique est invitée à en faire le signalement soitsSur la plateforme de signalement en ligne :
En téléchargeant l’application mobile « Frelon Asiatique »
Face à une piqûre
– Le premier réflexe est de retirer tout ce qui peut entraver la circulation sanguine (enlever bagues, bracelet en cas de piqûre à la main)
– Retirer le dard, attention à ne pas percer la glande à venin
– Approcher une source de chaleur (sèche-cheveux, cigarette) peut permettre de diminuer la douleur en neutralisant le venin – Attention toutefois à ne pas se brûler,
– Désinfecter avec du savon ou un antiseptique
– Poser ensuite un glaçon recouvert d’un linge pour limiter le gonflement
Que fait la mairie ?
Une convention de partenariat a été signée en 2019, et reconduite fin 2020 entre l’ensemble des 19 communes de la CCDSV et le Groupement de Défense Sanitaire relativement à la surveillance et la lutte contre le frelon asiatique.
Cette convention vise à repérer et faire détruire les nids par des entreprises spécialisées
Nuisance et vecteur potentiel de maladies
Vigilance & prudence
Vespa velutina, est un frelon invasif d’origine asiatique dont la présence en France a été signalée à partir de 2004. L’Ain est impacté depuis 2015.
Si piqûre dans la bouche, la gorge, piqûres multiples ou si les symptômes locaux s’aggravent, consulter d’urgence un médecin ou appeler les pompiers (18), le Samu (15) ou urgences médicales (112).
Risque écologique
Le frelon asiatique est un destructeur des abeilles et autres pollinisateurs.
Presque sans prédateur lui-même, il fait des ravages dans les ruches. Il s’attaque aussi aux guêpes, mouches, papillons et araignées, constituant de fait, une menace pour l’équilibre de la biodiversité
Conséquence ?
Le déclin des pollinisateurs est un danger pour l’agriculture et donc potentiellement pour notre sécurité alimentaire
Risque sanitaire
La piqûre des frelons est douloureuse mais dans la majorité des cas non dangereuse.
Cependant en fonction de la nature du sujet (tempérament allergique, enfant…) ou en cas de piqûres multiples, on peut constater un choc anaphylactique dont les symptômes peuvent être divers comme des nausées, un gonflement du visage, des vertiges pouvant aller jusqu’à la perte de connaissance. Il est alors impératif de consulter immédiatement.
Le savez-vous ?
Le frelon asiatique peut tuer jusqu’à 70 abeilles par jour !
De plus celles qu’il ne tuent pas sont tellement stressées par les attaques que la récolte de nectar et de pollen en pâtit, rendant la ruche dysfonctionnelle.
Que faire ?
Face à un nid
Deux types de nids peuvent être observés :
– Les nids primaires : visibles dès les premiers beaux jours, au printemps,
– Les nids secondaires :
visibles dès le début de l’été, correspondant à une délocalisation de la colonie qui abandonne le nid primaire, trop petit.
Ne tentez pas de déloger un nid vous-mêmes.
Toute personne constatant l’existence d’un nid ou suspectant la présence d’un frelon asiatique est invitée à en faire le signalement soitsSur la plateforme de signalement en ligne :
En téléchargeant l’application mobile « Frelon Asiatique »
Face à une piqûre
– Le premier réflexe est de retirer tout ce qui peut entraver la circulation sanguine (enlever bagues, bracelet en cas de piqûre à la main)
– Retirer le dard, attention à ne pas percer la glande à venin
– Approcher une source de chaleur (sèche-cheveux, cigarette) peut permettre de diminuer la douleur en neutralisant le venin – Attention toutefois à ne pas se brûler,
– Désinfecter avec du savon ou un antiseptique
– Poser ensuite un glaçon recouvert d’un linge pour limiter le gonflement
Que fait la mairie ?
Une convention de partenariat a été signée en 2019, et reconduite fin 2020 entre l’ensemble des 19 communes de la CCDSV et le Groupement de Défense Sanitaire relativement à la surveillance et la lutte contre le frelon asiatique.
Cette convention vise à repérer et faire détruire les nids par des entreprises spécialisées
Vespa velutina, est un frelon invasif d’origine asiatique dont la présence en France a été signalée à partir de 2004. L’Ain est impacté depuis 2015.
Si piqûre dans la bouche, la gorge, piqûres multiples ou si les symptômes locaux s’aggravent, consulter d’urgence un médecin ou appeler les pompiers (18), le Samu (15) ou urgences médicales (112).
Ne tentez pas de déloger un nid vous-mêmes.